« O fils de l’esprit !
Je t’ai créé riche, pourquoi t’abaisses-tu à la pauvreté ? Je t’ai fait noble, comment peux-tu t’avilir ? De l’essence du savoir je t’ai conféré la vie, pourquoi cherches-tu la lumière auprès d’un autre ? De l’argile de l’amour je t’ai façonné, comment peux-tu t’occuper d’un autre que moi ? Tourne ton regard vers toi, afin que tu puisses me trouver présent en toi, fort, puissant, subsistant par moi-même. »
Bahá’u’lláh, Paroles cachées, 1ère partie, n°13