« Je te supplie […] de faire de ma prière un feu capable de consumer les voiles qui m’ont séparé de ta beauté et une lumière qui me conduise vers l’océan de ta présence. »
« Sache en vérité que l’âme, après qu’elle a été séparée du corps, continue de progresser dans un état et dans des conditions que ne sauraient changer ni les révolutions des âges et des siècles, ni les hasards et vicissitudes de ce monde, jusqu’à ce qu’elle ait accédé à la présence de Dieu. »
Bahá’u’lláh, Extraits des Ecrits de Bahá’u’lláh, LXXXI